Ailleurs

Il était une fois un corbeau qui regarde toujours les pigeons qui volent en ciel, il les regardent avec beaucoup d'admiration, il pensait que les pigeons sont des êtres très belles, pacifique et tendre, d'ailleurs, il pensait que la couleur de leurs plumes reflètent leurs intérieurs, la claireté, la nuance et la fraîcheur.

Il doute que ces pigeons ont quelques choses de mal ou de méchant, il aimait les pigeons.
il pense a lui aussi, il voyait que lui aussi est beau, rien a signaler pour ça, mais il se trouve qu'il a du manque a propos de la claireté ou la transparence, et regarde ses plumes mais refelettent pas ce qu'il y'a au ciel, les nuages, il manque de blanc dans son physique, il se sent mal quand il regarde le noir qu'il l'entoure, il se sens mal alaise,ce qu'il veux que sa bonté reflète a l'extérieur de lui mais ce n’est pas possible si le bon dieu n’a pas voulu ça pour lui, alors il pense donc de sortir cette bonté ou ce coté animal doux a sa manière, en volant comme des pigeons, après tout, dit il, si les pigeons sont belles c parce qu’il volent bien aussi, mais il sens et il sait que ce n’est pas a lui de voler comme ça, il ne sais pas voler comme ça, il n’est pas lui.

Alors il décide d’observer les pigeons, peut être il peux en savoir plus si ils examinent leur attitudes, donc il les suit une fois jusqu'à a la place de la ville voisine pour voir comment elle peut avoir tout cette amour pour eux puisqu’ils sont élus « l’oiseau de la paix ».

On regardons de loin, ils voit les gens donnent aux pigeons quelque grains pour s’amuser avec elle et sentir leurs humanité a travers les geste qu’ils faisaient, on penchant sur ces oiseaux et on en souriant avec beaucoup de tendresse dans les yeux tandis que les pigeons s’approchent des humains on lui donnant l’impression de les comprendre ou de les remercier.

Le corbeau avait besoin d’avoir ce regard pour lui, il vit seul, il mange seul, il n’a pas a qui s’adresser quand il est déprimé, même quand il veux parler a lui, il ne peut pas, alors il prend le courage de s’approcher d’un groupe de pigeons, et il dit :

- « Bonjours anges du ciel porteur de la paix, puis-je rejoignez votre groupe ? ».

- « Un corbeau dans un groupe de pigeons !! pourquoi ? » dit une d’elles.

- Répond le corbeaux en reflelettant sa joie : « J’admire beaucoup votre manière de vivre, j’aime votre vie, le regard des autres envers vous, j’aime bien savoir comment vous faites pour être si chanceux et populaire ??

- « On évites les corbeaux. » et c’est ainsi répond les pigeons en se moquant du pauvre corbeaux.

Et a ce moment la, des battement de pieds très nerveuses et rapides s’approchent du groupe, on grognant l’oiseau noir et en lui collant des vulgaires mots tel que « maudit oiseau », « sale créature » ou « vilaine parasite ».

Le corbeau est effrayé, et sous le choc des mots des pigeons et l’agitation qui accompagné la scène, il ne savait pas quoi faire, il cherchait à comprendre ce qui c’est passé, il ne trouve pas la force de voler, il sens que ces ailes sont bloquées, sa volonté a était prise, et son amour au ciel s’éteint, et soudain, l’obscurité, il ne voyait rien, tout est noir, noir comme ses plumes, noir comme son bec, noir comme la peur qu’il sentait.

Le corbeau avait la trouille, et ne pouvait pas agir, il voulais sortir, il s’étouffait, il commence a crier il ne sentais plus la force de la chose qui le tient tellement qu’il est en panique puis le calme mais en écoutant des sons étranges. Et une autre fois il voyait la lumière de nouveaux, mais étrange moins claire que celle qu’il connaît, moins vif avec une odeur étrange a celle qu’il sentait dans son arbre ou il place son nid ou de la nature qu’il vivant dedans. Il voyait un humain qui entrain de couper des légumes avec un outil très fin et brillant.

Le corbeau savait ce que lui attend, c’est vrai qu’il n’a jamais passer par cette situation dans sa vie mais il savait. Il pensait a ce qu’il a emmené jusqu’ici et comment finissent les choses pour lui, il avait du chagrin de la peine et de la souffrance, son cœur est brisé, il ne voulais être détesté par ce qu’il aime, il aimait les gens, il aimait les gens, il aimait voir le bonheur a leurs yeux qu’il a jamais eu dans les siens.

L’humain approche du corbeau, il le tient de son cou on le mettant sur la table face a la fenêtre. Le corbeau observait a travers la fenêtre, il regarderait le soleil, il sentait ses rayons heurté sa tête, attiré par son force, profitant de son face a face avec elle et en passant les yeux dans la vaste ciel qu’il volait avant, il l’a regardait avec un grand amour, et a ce moment la le corbeau souriait.

La lumière s’éteint, de nouveau obscurité, mais le corbeau était calme cette fois, en souriant au ciel et ne sentait plus la peur.

En effet il s’envole de nouveau... ailleurs.